Durant 40 ans et jusqu’en mai 2018, le centre de documentation et de généalogie a été géré de main de maître par Michel Van Pottelberghe.
Une fois admis à la retraite, alors que son assistante Christine Sieuw avait déjà pris la sienne, Fabienne Bondue est devenue l’unique employée.
Pour rappel, les bureaux sont logés dans des conteneurs sur le site de l’ancienne école d’État, rue du Faubourg. Avec le retour qui se profile, un deuxième employé a pris ses fonctions le 25 février: Bernard Baudour. «J’étais business analyst à Bruxelles, mais je souhaitais me rapprocher de mon travail. L’objectif est réussi puisque j’habite à quelques minutes à pied! Mais j’ai aussi postulé parce que j’ai toujours aimé l’histoire et ma région. Et je dois dire que les premières semaines de travail ne me déçoivent pas du tout».
Aidés par des bénévoles, les deux employés sont chargés de l’aménagement des nouveaux locaux.
Des comptes en boni
Le trésorier, Dominique Loridan, a présenté les comptes, en boni. Les ventes des tomes des Mémoires s’essoufflent quelque peu, même si celles du dernier tome semblent prometteuses.
«À la grande époque, nous vendions 1000 exemplaires, précise Francis De Simpel. Pour 2017, le tirage était de 800 livres: 450 ont été vendus et environ 80 envoyés en échange. Pour 2018, nous avons diminué le tirage à 650.»
Jean-Marie Duvosquel tempère: «Quand on compare avec d’autres sociétés d’histoire, de villes bien plus importantes que la nôtre, nous pouvons être contents! À Namur, le tirage est de 150 exemplaires!»
M-F.Ph. - L'Avenir
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